Ce ne sont que nouvelles sonorités, timbres rarissimes et
musiques saisissantes que vos oreilles vont découvrir lors des cinq “grands concerts” proposés parmi les différents rendez-vous du
quatorzième Printemps du Jazz.
Jugez-en plutôt :
- • l’harmonica d’Olivier Ker Ourio évoquant les maloyas de l’île de La Réunion
- • le bandonéon d’Astor Piazzolla imaginé par l’O.N.J. de Daniel Yvinec
- • la flûte à bec funky et virtuose de Benoît Sauvé
- • le virevoltant pan ((synonyme de steel-drum) aux effluves de calypso avec Guillaume Kervel
- • sans oublier les claquettes, le banjo et le soubassophone des Oignons
- • ni le guitar-hero Jimi Hendrix ressuscité par le groupe Journal intime
- • Et toujours les ateliers des élèves du CRD